Zone de Contact/Objets d’ailleurs : 1ère Etape

rectoWebDans le cadre du Printemps de la Mémoire, Biennale du réseau Mémoires Histoires en île-de-France,
Alter Natives et les participants au projet Zone de Contact / Objets d’Ailleurs
vous invitent à plusieurs premiers temps de restitution d’une première étape du projet :
 
*MERCREDI 30 MARS de 10h à 13h :
Présentation du projet Zone de Contact/objets d’ailleurs à la journée d’étude « Patrimoines: Que faire de l’injonction à la participation? »
La Briqueterie: 17 rue Robert Degert Vitry-su-Seine ( 94) 
http://www.alabriqueterie.com/fr/
 
*Du 1er au 16 avril 2016 de 14h à 19h :
Présentation du projet dans le cadre de l’exposition « Frontières » en association avec l’exposition « Démineurs » , de La Colline
l’EchoMusée, 21 ru Cavé Paris 18e (métro Barbès) – Entrée Libre
Vendredi 1er avril à 19h
Vernissage de l’exposition autour d’un repas partagé
consommation de boisson au bar
Dimanche 3 avril à 15h
Restitution du projet Zone de Contact/Objets d’ailleurs par les participants
Ateliers pédagogiques et artistiques sur rendez vous autour de l’histoire des objets venus d’ailleurs
 
*MERCREDI 6 avril de 19h15 à 20H30
Restitution du projet par les participants
Musée d’art et d’histoire du Judaïsme, Hôtel de Saint-Aignan
71, rue du Tempe , Paris 3e. Entrée au tarif habituel des salles du musée – 30 invitations sur inscription auprès de l’Alter Natives (anatives@gmail.com)
 
*JEUDI 14 avril
16e festival Michto la Noue 2016,
Exposition et présentation du projet dans le cadre du séminaire d’échange de pratiques  » Temps de l’adolescence, temps du travail éducatif », Quartier la Noue, Clos français à Montreuil
Et d’autres temps de restitutions muséaux sont envisagés un peu plus tard dans le printemps!

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Le printemps de la Mémoire , c’est du 8mars au 16 avril !

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Le Réseau Mémoires-Histoires en Ile-de-France propose du 8 mars au 16 avril 2016 la troisième édition du Printemps de la Mémoire.

Porté par le Réseau Mémoires-Histoires en Ile-de-France, il vise à donner une plus grande visibilité aux projets mémoriels afin de valoriser les mémoires collectives et singulières dans les quartiers et sur le territoire francilien. La biennale propose de donner au grand public non seulement une vision globale sur les projets mémoriels mais aussi de leur offrir un véritable parcours éducatif et culturel et de leur faire découvrir de nouveaux lieux sur les différents territoires d’Ile-de-France.

Du Val-de-Marne à la ville de Paris en passant par la Seine-Saint-Denis et le Val d’Oise, le Printemps de la Mémoire offre aux Franciliens une programmation alliant rencontres-débats, projections, expositions et spectacles vivants articulés autour des enjeux mémoriels.

Cette année, l’événement se déclinera autour de quatre grandes thématiques :

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Vous trouverez ici le programme complet:http://memoires-histoires.org/wordpress/event/le-printemps-de-la-memoire/

et le rappel régulier des événements sur la page Facebook du Réseau Mémoires Histoires en Ile-de-France: https://www.facebook.com/R%C3%A9seau-M%C3%A9moires-Histoires-en-Ile-de-France-199585600070062/?fref=ts


 

 

Alter Natives qui coordonne la thématique Frontières, y participe à partir de diverses manières  en restituant le projet Zone de Contact/ objet d’ailleursZone de contact objet d'ailleurs logo

 

 

  • Intervention à la demi journée d’étude : « Patrimoines : que faire de l’injonction à la participation ? »30 mars, la Briqueterie : 17, rue Robert Degert 94407 Vitry-sur-Seine Tél.: 01 46 86 17 61 Métro: Villejuif – Léo Lagrange
  • du 1er au 16 avril  exposition du projet Zone de Contact/objet d’ailleurs  à l’Echomusée, 21 rue Cavé, Paris 18e , avec le projet Démineurs (Cf article suivant)
  • Performances autour d’objets dans les musées du Louvre et du Musée d’art et d’histoire du judaisme ( MAHJ) les 6 , 8 et 15 avril

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Périchaux devant! exposition – retour d’expérience (17-19 décembre 2015- Cité de la Mode et du Design/ Paris)

Alter Natives, en partenariat avec Mix’Ages/entr’aides et Kyrnéa, revient sur le projet Zone de contact Périchaux (2012-2013) au cours de La 13e rencontre de Passeurs d’images sur les Traces de la ville 2.0 – Image de la cité, par une exposition disponible pendant trois jours sur les lieux de l’événement.
L’occasion de représenter cette initiative quelques années plus tard est une chance, la chance d’en requestionner l’impact et les traces dans la mémoire des habitants et des acteurs.
De plus la projection du film Périchaux devant ! en version longue inédite jusqu’à ce jour, est aussi l’occasion de s’interroger plus globalement sur le faible usage de ces témoignages dans le cadre des rénovations urbaines et de mesurer leur pertinence dans le temps.

L’inauguration de l’exposition est à partir de 17h30 jeudi 17 décembre. Par mesure de sécurité il est indispensable de s’inscrire auparavant au travers des liens ci-après joint.signature-rn15-tracesdevilledeuxpointzero

TRACES DE VILLE 2.0 – Les images dans la cité

(http://www.passeursdimages.fr/2015-13e-rencontres-passeurs-d-images.html)

MERCI DE CONFIRMER VOTRE INSCRIPTION EN LIGNE en cliquant ICI

RÉSERVATIONS: inscription@passeursdimages.fr  01 47 70 71 71

www.passeursdimages.fr/2015-13e-rencontres-passeurs-d-images.html

Les 13e RENCONTRES PASSEURS D’IMAGES se tiendront les 17, 18 et 19 décembre 2015 aux Docks – Cité de la Mode et du Design, 34 quai d’Austerlitz 75013 Paris.

Une nouvelle génération de créateurs (réalisateurs, plasticiens, performeurs, compositeurs urbains, architectes transmedia et autres street artistes) transforme nos rues, nos vies et nos villes en espaces de culture(s), terrains d’aventure, cités rêvées… 3 jours de débats, expo et projections pour explorer ces nouvelles circulations d’images. Les usages numériques y favorisent les croisements de points de vue, sensibilisent les habitants à leur environnement urbain, récréent des pratiques civiques. Ils forment une résistance douce aux villes standardisées et invitent à retrouver le plaisir de la ville comme un espace public, partagé.

PROGRAMME

JEUDI 17 DÉCEMBRE 2015

 

14h-15h : USAGES NUMÉRIQUES ET REPRÉSENTATIONS SOCIALES DANS L’ESPACE PUBLIC

Hervé LE CROSNIER – Enseignant-chercheur, Université de Caen
Conférence présentée par François CAMPANA – directeur de KYRNÉA / Passeurs d’images

Internet engendre des changements culturels profonds, d’ordre anthropologique. La société numérique engage de nouveaux imaginaires, tant individuels (être toujours connecté) que collectifs (un rêve de communautés). Quelles pratiques valoriser pour que ce « bien commun » se développe comme un champ de connaissance partagé ?

 

15h-17h30 : ESPACES DE CULTURE(S) / Table-ronde #1
Des traces qui racontent… des histoires qui nous ressemblent et des lieux qui nous rassemblent.

 

Débat animé par

Gentiane GUILLOT – Secrétaire Générale de HorsLesMurs, Centre national de ressources des arts de la rue
Déjouer les codes dominants de représentation du réel, superposer différentes « couches de réalités » : du tangible à l’image, les arts dans l’espace public mettent le réel en question.

Simon BOUISSON – Réalisateur, architecte transmedia
Les communes de Paris croisent les chemins, vous choisissez qui vous suivez. Avec les jeunes de Stainsbeaupays, la timeline est circulaire mais le code est ouvert : révolutionnaire ! Ces formes webdocumentaires ouvrent la voie à une excursion au cœur de l’urbain, au cœur de l’humain.

Laurent MALONE et Sébastien THIÉRY – Réalisateur et Politologue – Membres du PEROU, Pôle d’Exploration des Ressources Urbaines
Au cœur des Rencontres de la Photographie d’Arles, un bidonville est apparu sur la cartographie des festivités de la ville : le Laboratoire des Imaginaires des Mondes À venir (LIMÀ) y invente un film-écran, un film en trompe-l’œil, un film d’architecture, l’architecture d’un film.

Stany CAMBOT – Architecte, réalisateur, Échelle inconnue
Le Nigloblaster, prototype re-designé de carriole foraine, géolocalise sons et vidéos dans l’île du Pollet à Dieppe. Sous-titrant le parcours d’une « ville mobile », ce contre-storytelling du patrimoine révèle un monument diffus, fait d’histoires clandestines de marin pêcheurs, dockers, manouches, chemins oubliés de la modernité.

Cécile RAYNARD – Chargée de projets culturels, association Cinéma parlant
Comme une galerie vidéo virtuelle en plein air, un parcours de QR codes jalonné de selfiestime lapsespixel artmachinima… Avec l’association Cinéma parlant, les jeunes de cet atelier Passeurs d’images dans le quartier Belle-Beille à Angers, mettent en jeu leurs propres pratiques de l’image numérique dans l’espace public.

 

17h30 : ZONE DE CONTACT / Vernissage de l’exposition « Périchaux devant ! »
Emmanuelle CADET – Co-directrice de l’association Alter Natives

Alter Natives promeut les méthodes et pratiques participatives prenant en compte la diversité des héritages culturels, matériels et immatériels, dans le développement contemporain des sociétés multiculturelles.

 

VENDREDI 18 DÉCEMBRE 2015

 

10h-11h : DONNER À VOIR LES TRACES NUMÉRIQUES

Dominique CARDON – Sociologue, Oranges labs département SENSE
Nos données connectées s’accompagnent de traces invisibles : à chaque clic, les algorithmes calculent des indicateurs de popularité, d’autorité, de réputation ou de prédiction comportementale. Comprendre les mécanismes du « big data » est la condition pour que nos échanges restent libres.

 

11h-13h : TERRAINS D’AVENTURE / Table-ronde #2
Artistes, inventeurs, habitants… les nouveaux outils de l’image numérique ouvrent de nouvelles pistes.

 

Débat animé par
Benoît LABOURDETTE – Réalisateur
Parle-moi DEL : une résidence, à Montreuil en 2015, un territoire, un terreau d’invention, et le choix d’un cinéaste de créer à partir d’échanges collectifs, où chacun peut se trouver ; un film panoramique, qui prend appui sur des matières-atelier, pour un nivelage par le haut.

Ulrich FISCHER – Plasticien
Walking the edit : l’idée de marcher son film, dont l’histoire se génère, en temps réel, au rythme de ses propres pas. Tout comme Memowalks, conçue comme une application générique qui s’est transformée au fil du temps et des réalisations dans une constellation d’applications originales. Le logiciel a commencé à dévorer le monde… à quand les smartcameras ?

Antoine SCHMITT – Plasticien
City Lights Orchestra est une symphonie lumineuse pour les fenêtres de la ville. La nuit, chaque ordinateur connecté par internet éclaire la fenêtre de l’appartement ou du bureau, palpite, cligne, pulse, s’allume et s’éteint, chacun selon sa partition propre, mais en rythme avec tous les autres, en suivant une partition globale.

Julien NONNON – Artiste visuel, Studio Le3
Safari urbain, ménagerie fantasmagorique en street mapping, invente de nouvelles proximités, révèle l’esprit de la ville et permet d’en saisir le pouls. Par ses traces 2.0, l’œuvre travaille la permanence de l’éphémère.

Romane MUTUYIMANA – Participante au projet Prenons de la hauteur
accompagnée de Pierre LEMARCHAND – Coordinateur Passeurs d’images en Haute-Normandie (Pôle Image Haute-Normandie)

Six femmes, orientées par les associations SAIS, Médecins du Monde et AIDES, réalisent dans cet atelier Passeurs d’images une séquence d’une minute chacune, en prise de vue aérienne, avec l’aide technique de la société locale Panormandic. À l’arrivée, un film réunit ces images en lien avec une bande son, et des prises de vue « au sol », fil rouge de ces films en train de se faire.

 

14h30-16h30 : CITES RÊVÉES / Table-ronde #3
Goûter la diversité des imaginaires urbains et numériques, et surprendre l’intraitable beauté du monde.

 

Débat animé par
Jean Jacques GAY – Chercheur laboratoire CITU-paragraphe, Université Paris VIII
Visualisation, simulation, modélisation : exploration d’une Terra Incognita 2.0. Les protocoles de numérisation cartographique contemporains intègrent des données architecturales et urbaines dynamiques : ces dispositifs R&D mobilisent artistes et chercheurs dans un jeu d’interaction générative, et d’intelligence artificielle.

Dominique ROLAND – Directeur du CDA d’Enghien
À partir du Centre des Arts, agrégateur de projets artistiques hybrides et première scène conventionnée en France sur les écritures numériques, la ville d’Enghien-les-Bains, désignée « ville arts numériques » du Réseau des Villes Créatives de l’UNESCO en 2013, promeut « l’envahissement artistique » par les cultures numériques.

Antonin FOURNEAU – Plasticien
Waterlight graffiti est une dalle de LEDs qui s’active au contact de l’eau, sorte de « matériau relationnel » mariant éléments fluides et circulations d’énergies, humanité, nature et technologie. Eniarof, « foraine » à l’envers, invite à une approche ludique qui revisite les cultures populaires, jouant des notions d’attraction, de fête et d’innovation.

Mark ETC. – Comédien, metteur en scène, Ici-Même (Paris)
First Life présente un parcours dans le regard et les pas d’un personnage, à l’aide d’une vidéo tournée en caméra subjective : image numérique et environnement se superposent, se croisent, se séparent, se rejoignent… Une expérience immersive, jusqu’à la perte de repères. Augmenter la réalité – ou la fiction ?

Laurence BAZIN – Chef-monteuse, responsable de l’association Cineam en Essonne
Par sa mission de collecte, de sauvegarde et de valorisation du patrimoine des films amateurs en Essonne, Cineam constitue la mémoire filmée d’un territoire : une histoire intime de l’urbain, qu’accompagne ARCADI, Coordination Passeurs d’images en Ile-de-France. Une invitation à repenser, à partir de ce qu’il fut hier, le rêve de la ville de demain.

 

16h30 : ÉDUCATION À L’IMAGE 2.0 
Présentation de l’ouvrage par Pauline CHASSERIEAU – Responsable département éducation à l’image, Acap – Pôle Image Picardie
avec Benoît LABOURDETTE, Romuald BEUGNON et Isabelle ARVERS.

Ce livre se veut un guide pratique, ouvert, proposant la construction d’une pensée sur les enjeux de l’éducation à l’image dans la société actuelle. Il présente des fiches d’actions éducatives sur différentes formes de création contemporaine : mashupmachinimapocket filmVJing, une vision prospective sur les drones, le mapping, etc. Un ouvrage qui interroge l’inscription du numérique dans nos environnements et son impact sur le public.

 

SAMEDI 19 DÉCEMBRE 2015

LA JOURNÉE DES JEUNES
Projections-débats autour de films d’ateliers de pratique artistique.

Le samedi est l’occasion pour des jeunes de toute la France de venir présenter leurs films d’ateliers de pratique artistique réalisés dans le cadre de Passeurs d’images, d’échanger avec un réalisateur professionnel et de découvrir de nouvelles formes de créations cinématographiques et audiovisuelles.

 

9h : ACCUEIL PUBLIC

 

9h30-11h15 : TRACES 2.0
Séance #1 animée par Virginie MESPOULET, ÉCLA – Coordination Passeurs d’images en Aquitaine
• La licorne des Marie-Louise – 15’48, expérimental, 2015 – Prémian, Languedoc-Roussillon
• Fausse identité – 09’34, fiction, 2015 – Bordeaux, Aquitaine
• 2.0 Mensonges et vidéos – 14’11, docufiction, 2015 – Tourcoing, Nord Pas-de-Calais
Spectatrice privilégiée : Nathalie ROTH, Réalisatrice, accompagnée d’étudiants de la Fémis.
Projection : Autoportraits écrans, workshop, 2015

 

11h15-13h : TRACES DE VILLE
Séance #2 animée par Émilie ALLAIS, Institut de l’image – Coordination Passeurs d’images en Provence-Alpes-Côte d’Azur
• Invisibles – 06’36, fiction, 2014 – Clermont-Ferrand, Auvergne
• Laawol Jam – 26’00, fiction, 2015 – Noisy-le-Sec, Île-de-France
• Nana… – 03’47, clip, 2015 – Nice, Provence-Alpes-Côte d’Azur
Spectateur privilégié : Christophe GAUTRY, Réalisateur
Projection : Vertige – 08’00, expérimental, 2012

 

14h-16h : TRACES DE SOI
Séance #3 animée par Alice CHAPUT YOGO, FRMJC – Coordination Passeurs d’images en Poitou-Charentes
• Le globoflexeur – 07’52, documentaire, 2015 – Bruxelles, Belgique
• FER Fe – 04’07, vidéodanse, 2014 – Mulhouse, Alsace
• Notre rêve – 10’31, animation, 2015 – Grenoble, Rhône-Alpes
Spectateur privilégié : Clément TRÉHIN-LALANNE, Réalisateur
Projection : Aïssa – 08’15, fiction, 2014

 

16h-17h : ATELIER COLLECTIF
Séance de clôture animée par Benoît LABOURDETTE
Sonorisation en direct du film réalisé le jour même lors de l’atelier graff avec des drones.

 

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ATELIERS
Deux ateliers parallèles mobilisent les techniques du street art et les technologies numériques de tournage. Ephémère ou durable, ils explorent les différentes temporalités de la trace.

ATELIER GRAFF & CELLULOÏD
Animé par JonBuzz & Loop (Jean-Baptiste MUZIOTTI et Pierre-Laurent TOIS) – Association Phényx

Habitués des projets de type chantier/école avec des jeunes, ces artistes mènent des ateliers de découverte et d’initiation à l’art mural et à la peinture artistique pour tout public, sur supports variés. Pour cet atelier aux Docks, quai d’Austerlitz, un spot historique du graff à Paris, ils proposent aux jeunes de participer à une fresque collective éphémère, sur un support filmique transparent, dont les contours des motifs et lettrages sont tracés par vidéo-projection.

ATELIER TOURNAGE AVEC DRONE
Animé par Benoît LABOURDETTE – Réalisateur

Par groupes de 10 personnes, les jeunes et le réalisateur filment, avec un drone, des graffitis en train d’être réalisés. Le principe est de faire un plan-séquence, refilmé plusieurs fois jusqu’à en être satisfaits. Chaque groupe réalise donc une petite séquence, muette (le drone n’enregistre pas de son), qui raconte un moment de la fabrication de cette peinture. À la fin de la journée, ces séquences assemblées par le réalisateur sont visionnées collectivement. Tous ensemble, dans la salle, nous en enregistrons alors la bande son : cris, chants, rythmes, paroles, mouvements vocaux… nous voilà avec un film, mémoire innovante et surprenante de cette journée exceptionnelle.

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EXPOSITIONS

QR CODES « Expression de soi à l’ère numérique »
Association Cinéma parlant, Angers
Un projet accompagné par Premiers Plans, Coordination Passeurs d’images en Pays de la Loire

Parcours numérique issu d’un atelier Passeurs d’images à Angers : des QR codes installés à même la rue renvoient vers des vidéos courtes, où les jeunes évoquent leur quartier, leur utilisation d’internet et leur pratique du gaming.

ZONE DE CONTACT / Exposition « Périchaux devant ! »
Association Alter Natives, Paris
Scénographie de Mathilde MEIGNAN

À travers une exposition-témoin, l’association Alter Natives propose de revisiter l’expérience du projet Zone de contact mené dans le quartier des Périchaux à Paris de 2012 à 2013.
En question : les usages sociaux des héritages culturels, vecteurs d’échanges entre générations et la transformation de la représentation d’un grand ensemble.

 

L’ÉQUIPE DES RENCONTRES

Directeur : François CAMPANA Programmation : Samuel WAHL Conseiller artistique : Jean Jacques GAY Journée des jeunes : Jeanne MÉGLY Communication et accueil : Maeva ALLIO, Astrid KAROUAL, Carmen LEROI, Patrice LHUILLIER Régie : Lenaïg ZANITTI, Pierre BARÈS

 

Contact et renseignements : 01 47 70 71 71 | r-n@passeursdimages.fr

www.passeursdimages.fr

 

Rencontres organisées en partenariat avec Les Docks – Cité de la Mode et du Design, avec le soutien du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC), du Commissariat général à l’égalité des territoires (CGET), du Ministère de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, et du Ministère de la Culture et de la Communication.

En collaboration avec les coordinations régionales Passeurs d’images : Émilie ALLAIS (Institut de l’image / PACA), Hélène CHABIRON (Premiers Plans / Pays de la Loire), Alice CHAPUT YOGO (FRMJC / Poitou-Charentes), Claudie LE BISSONNAIS (ARCADI / IDF), Pierre LEMARCHAND (Pôle Image Haute-Normandie), Virginie MESPOULET (ECLA / Aquitaine) et Philippe COTTE (CVB / Belgique).

Les projections de la Journée des jeunes participent à la fête du court métrage Le Jour le plus Court organisée par l’Agence du court métrage.

Avec la participation des réseaux Passeurs d’images et des coordinations régionales et locales, des Pôles régionaux d’éducation artistique et de formation au cinéma et à l’audiovisuel, des Fédérations d’éducation populaire, des associations nationales, régionales, locales, travaillant sur le terrain de l’éducation à l’image, des structures institutionnelles, des professionnels du cinéma et de l’audiovisuel, et de tous ceux pour qui l’image est un vecteur de sociabilité, d’apprentissage, de découverte et de plaisir.

 

SOIREE-DEBAT #7: « Ces objets de musées qui viennent d’ailleurs »//invité: Bertrand Daugeron

Parce qu’il est plus que jamais nécessaire de développer des zones de contact au sein desquelles se rencontrent des personnes de tous horizons et s’échangent divers savoirs:
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Vendredi 27 novembre, Bertrand Daugeron nous propose de revisiter la gravure des « Sauvages du Cap de Diémen préparant leur repas » (1793). Aborigènes et Français sont représentés sur un même plan interagissant les uns avec les autres, et, au centre de l’image quelques objets. Que sont devenus ces objets? Dans quels buts ont-ils alors été collectés? Pourquoi ont-ils été par la suite oubliés et perdus ? Aujourd’hui, quelle est leur valeur de ce type d’image pour les descendants aborigènes de Tasmanie ?

Bertrand est auteur de plusieurs ouvrages sur l’histoire des collections à la fin du XVIIIe siècle. L’un de ses livres, A` la Recherche de l’Espérance Revisiter la rencontre des Aborigènes tasmaniens avec les Français (1772-1802) » a reçu un prix de la Société de Géographie en 2014.

1er rendez-vous Zone de contact/objets d’ailleurs : VENDREDI 11 SEPTEMBRE à partir de 18H00, à la Maison des Associations du XXe, Paris

VENDREDI 11 SEPTEMBRE à partir de 18H00, à la Maison des Associations du XXe arrondissement de Paris : 1-3 rue Frédérick Lemaître , 75020 Paris
M° Jourdain (L11)
Bus : ligne 26 (arrêt Jourdain) .
Ce soir là, il s’agira de se rencontrer et de présenter les différentes activités à venir.
Pour plus d’informations contactez nous au 06 77 00 67 38 ou bien par e-mail : anatives@gmail.com.
A très vite. L’équipe d’Alter Natives.

(PS : nous prenons en charge vos tickets de transport)

Zone de contact – objets d’ailleurs : Appel à participation Ile de France

British Museum collectio n africaine 07-11-2012Alors voilà .. qu’on vous rappelle, tout est parti de là. C’était au cours du séjour à Londres du projet Périchaux en novembre 2012. Parti rencontrer des comités de jeunes dans des musées de Londres, on s’est arrêté dans les salles africaines du British Museum. Et là la discussion a commencée. Que faisaient ces objets ici? et au fait comment sont-ils arrivés ici?

Ensuite. Et bien il nous a fallu deux ans pour réfléchir à ces questions, trouver les bonnes personnes pour nous aider sur cette voie, construire un projet qui y réponde et puis trouver les moyens de le développer.  Ainsi, il s’agira de travailler de manière inclusive et participative sur l‘histoire de l’acquisition des objets venus d’Afrique, D’Asie, D’Amérique ou d’Océanie dans les musées en France. Et Par la même de revisiter collectivement les points aveugles de l’histoire qui relie la France avec ces autres pays.

Les premières soirées-débats 2015 ont été là aussi pour rendre publiques ces interrogations et commencer à découvrir cette zone de contact possible autour de ces objets de musées venus d’ailleurs.

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Aujourd’hui, Alter Natives propose ce projet à 20-25 jeunes habitants d’Ile de France (entre 15 et 21 ans) . La participation est gratuite en dehors de l’adhésion annuelle à l’association (5 euros).  Il n’y pas de sélection à l’entrée  mais ce projet implique un engagement et une forte mobilisation des participants.
Après une phase de mobilisation vous serez sensibilisés et formés à la recherche documentaire sur ces objets de musées venus d’ailleurs. Vous ferez part de vos réflexions à travers une forme d’expression de votre choix et vous présenterez lors de diverses manifestations le travail créatif mené. Enfin vous coproduirez une exposition autour des objets que vous aurez choisis.
Les ateliers se tiendront dans des espaces appropriés mis à disposition par les collectivités et dans les musées partenaires, en dehors des temps scolaires.
Le projet prévoit des courts séjours culturels en France et à l’étranger, des formations à la video  et à divers modes d’expression. Il est rythmé par des temps fort de prise de décision au sein du comité de pilotage qui réunit des représentants des jeunes participants, des conservateurs et des chercheurs.
Il s’agit pour vous :
– d’acquérir des connaissances sur l’histoire des collections venues d’ailleurs mai surtout des contextes dans lesquels ces objets ont évolués.
– développer des compétences:
captage montage vidéo, expression en public, mobilisation de réseaux sociaux, conduite de projets culturels, réalisation de visites thématiques dans des musées, production d’une exposition grand public.
– vivre une expérience collective avec d’autres jeunes et apprendre à coproduire avec des conservateurs et des chercheurs.
– changer les pratiques dans les musées et la perception que l’on a de ce patrimoine commun.
Pour vous inscrire ou avoir plus d’informations sur ce projet, c’est le moment de nous contacter : 06 77 00 67 38 , anatives@gmail.com , page facebook : Zone de contact
A très vite!
exemple :

SOIREE-DEBAT #3// « Ces objets de musées qui viennent d’ailleurs »//invitée: Sally Price

#03webpetitDans le cadre de la mobilisation autour du projet Zone de Contact/objet d’ailleurs, Alter Natives a organisé la troisième de ses soirées-débats « Ces objets de musées qui viennent d’ailleurs »,  le vendredi 17 avril 2015 à 20h00,

en accueillant l’anthropologue américaine Sally Price, professeure émérite à l’Université de William & Mary (Virginie). Diplômée de Harvard, elle a enseigné dans de nombreuses universités américaines ainsi qu’en France et au Brésil. Elle est l’auteur de Arts primitifs, regards civilisés et Au musée des illusions : Le rendez-vous manqué du quai Branly.

De ses études sur les marrons, ces descendants d’esclaves rebelles au Suriname et en Guyane et sur leur art, à ses recherches autour des objets et collections que l’on a qualifié tour à tour « d’ethnographiques », « d’arts primitifs » et aujourd’hui « d’arts premiers », Sally Price nous invita à discuter de la relation entre objet d’art et objet ethnographique à travers les « errances et erreurs des documents muséaux , histoire de palimpsestes ».